> C’est un homme qui rentre chez lui le soir. Sa femme lui dit :
> - Tu sais, aujourd’hui y a un type qui est venu.
> - Ah oui ? Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> - Rien. Il est entré et il m’a attrapée.
> - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> - Rien. Il m’a enlevé tous mes vêtements.
> - Ah oui ? Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> - Rien. Il m’a jetée sur le divan et m'a prise par tous les côtés.
> - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> - Rien. Après, il est reparti
> - Et qu’est-ce qu’il a dit ?
> - Rien du tout.
> - Mais alors, on saura jamais pourquoi il est venu !
>
> Dans la nuit, un quidam s'approche d'un homme en train de
> scruter le sol près d'un réverbère.
> - Qu'est-ce que vous cherchez ?
> - Mes clés de voiture.
> - Vous êtes sûr de les avoir perdues par ici ?
> - Non, pas du tout, mais c'est là qu'il y a le plus de lumière.
>
>
> Un type se présente au guichet du Pôle emploi :
> - Quel est votre nom ? demande le fonctionnaire.
> - Reggiano, sans P.
> - Pardon ?
> - Reggiano, sans P !
> - Euh … excusez-moi, je ne comprends pas très bien.
> - REG-GIA-NO, sans P !
> - Mais... il n'y a pas de P dans Reggiano.
> - C'est ce que je me tue à vous dire !
>
>
> Un homme entre dans un bar :
> - Vous avez des bananes ?
> - Non, monsieur, désolé, répond le barman.
> - Vous avez des bananes ?
> - Mais... Je viens de vous dire qu'on n'en a pas !
> - Vous avez des bananes ?
> - Écoutez, je vous le répète, on n'a PAS de bananes !
> - Vous avez des bananes ?
> Là, le barman voit rouge.
> - C'est fini, oui ? Si vous répétez ça encore une fois, je vous cloue la
> langue au comptoir !
> - Vous avez des clous ?
> - Non !
> - Vous avez des bananes alors?
>
>
> Un homme demande à sa femme :
> - Chérie, ça te dirait de faire l'amour à trois ?
> - Pourquoi pas, je n'ai jamais essayé.
> - Alors on y va. Un, deux, trois !
>
>
> Une jeune femme dit à son mari qui vient de rentrer du travail :
> - Chéri, j'ai une grande nouvelle pour toi : très bientôt nous ne serons
> plus deux dans cette maison, mais trois.
> Le mari est fou de joie et embrasse sa femme, qui poursuit :
> - Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive demain
> matin.
>
>
> Un homme demande à son médecin :
> - Et ça va me coûter combien, ce nouveau traitement qui pourrait guérir
> ma belle-mère ?
> - Entre 3 000 et 4 000 euros.
> - Laissez tomber, docteur. Les pompes funèbres m'ont fait une offre
> plus raisonnable.
>
>
> C'est un gars fortuné qui ne sait pas trop quel cadeau choisir pour
> l'anniversaire de sa belle-mère. Finalement, en désespoir de cause, il
> opte pour l'achat d'une concession funéraire dans un cimetière huppé de
> la ville.
> Mais un an plus tard, il ne lui achète rien.
> - Alors, on n'a plus de considération pour sa belle-maman ?
> - C'est-à-dire... je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que vous ne
> vous étiez pas servi de mon cadeau de l'année dernière.
>
>
> Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se
> marier avec sa petite amie. Comme il n’est pas du tout au courant des
> traditions, à la fin de la messe nuptiale il s’approche du curé et lui
> demande :
> - Excusez-moi, mon père, je sais qu’il est d'usage que les jeunes
> mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré leur mariage, mais
> je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
> Le prêtre lui répond dans le creux de l’oreille :
> - En général, c’est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle
> est belle, plus la somme est élevée.
> A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques
> instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d’un euro au
> curé.
> Le prêtre, un peu embarrassé, lui dit :
> - Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie.
>
>
>
> Une blonde va consulter son psy :
> - Cette nuit, j'ai encore fait un rêve terrifiant qui me poursuit
> depuis l'enfance, docteur.
> - Racontez-moi ça.
> - Je suis devant une porte que je dois absolument ouvrir. Alors je
> pousse, je pousse et j'ai beau pousser de toutes mes forces, elle
> refuse de s'ouvrir.
> - Hummm... Je vois...
> - Ça dure comme ça toute la nuit et au réveil je suis complètement
> épuisée et dans un état d'angoisse indescriptible. C'est grave, docteur ?
> - Intéressant... Même à moi, ça me fout la trouille. Et sur cette
> porte, il y a quelque chose d'écrit ?
> - Oui... Il y a écrit : "TIREZ".